MAROIS NOUS OFFRE ENCORE ''LE DIVORCE AVEC PRIVILÈGE DE COUCHETTE''

On a pas fini d'entendre Charest répéter '' Un vote pour le PQ c'est un vote pour la séparation '' alors que Marois sert du réchauffé décoré de persil en plastique. Tellement d'ouvrages ont été rédigés depuis les années ''70'' sur ce qui peut encore être nommé ''un divorce mais avec privilège de couchette'' QU'ON EN A SOUPÉ.

Une ''conversation nationale'' prendrait place, et on enlèverait l'obligation de tenir un référendum dans la première année de mandat.Il ne faut pas parler de ce mot tabou, on ne se fera pas élire par les imbéciles.En d'autres mots, ceux qui ont peur de perdre leur chèque de B.S. et les indécis seraient rassurés et voteraient PQ plutôt que pour DUMONT et son ADQ. Aussi bien voter pour un vieux parti ( aussi monotone que leur existence )que pour le nouveau parti même si celui-ci a fait une montée spectaculaire aux dernières élections au point de se tailler une place comme opposition officielle.

Cette ''conversation'' dite: son monologue, devrait plutôt se tenir à l'intérieur de son parti, car la louve des SS, de plus en plus s'approche de sa crucifixion. Les durs du Parti ne démordent pas de leur idée de jeunesse, d'un Québec souverain et voilà qu'elle propose de se dégager de la responsabilité de tenir un référendum. Il y en aura un, c'est ce qu'elle leur dit pour les calmer mais il faut d'abord se faire élire, mais regardons comment les Serbes et Croates ont procédé, voyons comment on peut appliquer ce mode de séparation. etc. etc..

LA RÉFÉRENDITE FAIT UNE AUTRE VICTIME
La référendite serait responsable pour la fin du reigne de Boisclair sur le Parti Québécois. Bien que l'objectif principal fut de séparer le Québec du reste du Canada qui, semble -t-il ne peut se faire qu'après référendum, la nomination d'André Boisclair ou de n'importe quel autre chef n'aurait rien changé dans l'esprit des Québécois.
Les gens en ont assez d'abord d'en entendre parler et cette référendite ne peut que contribuer à séparer la population à l'interne. Reve des années ''70'' d'une partie de la population dont la majorité ne peuvent meme pas éternuer en anglais et une jeunesse influençable qui a besoin d'un sens d'engagement envers une cause sans en comprendre les implications, ce mouvement en est à son dernier souffle.
L'idée de nommer Duceppe à sa tete, ne changera rien à l'utopie.Ce n'est pas la faute de Boisclair si le Parti Québécois a perdu les élections de mars. Une trop grande quantité de conflits internes et propres au PQ, rend craintive la population Québécoise qui ne voit pas le jour ou ses membres arriveront à s'entendre sur une seule chose. Un gouvernement assez instable se présente et voudrait automatiquement réanimer la flamme des années ''70'', flamme qui est maintenant devenue une simple lueur et on ne peut lui attribuer le terme lueur d'espoir. Le fédéralisme semble fonctionner et la population fait partie de la mondialisation et non séparée de cette réalité.

Duceppe se verra ronger comme l'ont été les Boisclair, Parizeau, Bouchard, Landry et Lévesque meme. On veut se modeler sur l'ADQ en nommant un chef qui serait moins hautain que Boisclair et plus près de la population style Mario Dumont. Je leur donne deux ans pour se préparer, des élections sont inévitables car le Gouvernement actuel étant minoritaire et poussé d'agir par une forte opposition de la part de l'ADQ n'aura d'autre choix que de faire revenir l'électorat aux urnes.

Bonne chance Monsieur Duceppe, aspergez-vous de je ne sais quoi pour éviter de vous faire dévorer. Avoir des ambitions trop grandes est comparable à coucher avec un éléphant, on risque de se retrouver écrasé au matin.